« La bonne grâce est au corps ce que le bon sens est à l’esprit »

La Rochefoucauld

Fasciapulsologie

La FASCIAPULSOLOGIE® (méthode C. Carini) se veut une approche gestuelle précise et élaborée, qui repose sur un toucher délicat (ni massage, ni manipulation osseuse).

Le fascia (organe à part entière) est un tissu conjonctif du corps humain. C’est un réseau fibrillaire continu, qui entoure, soutient et protège chaque organe, os, muscle, viscère, tissu nerveux…

La pulsologie est une dimension vasculaire qui s’appuie sur le réseau artériel et son rythme sanguin. Cette pulsation correspond à une perception de la qualité du flux sanguin qui diffère du pouls utilisé par la médecine moderne.

Les fascias jouent également un rôle de protection des différentes structures de l’organisme (soutien, communication, nutrition et défense).

Très réceptifs à toute forme de stress – physique ou psychologique – les fascias sont doués d’une capacité de crispation autonome (micro-contracture). Ainsi, ils se rétractent à la moindre agression (physique, émotionnelle ou psychique).

Le praticien, grâce à sa perception des micro-mouvements subtils internes, agit sur un plan tissulaire, qui se caractérise par un certain nombre de critères comme la lenteur, l’amplitude, les directions et le rythme.

Ses champs d’application sont vastes et peuvent concerner, notamment :

– Les troubles fonctionnels liés au stress : insomnie, nervosité, fatigue, migraines…
– Les troubles digestifs : acidité, reflux gastriques, constipation…
– Les douleurs ostéo-articulaires : lombalgies, sciatiques, torticolis, tendinites…
– Les troubles gynécologiques : règles douloureuses, aménorrhée…
– Les troubles ORL : acouphènes, sinusites chroniques, asthme…

NOTA : Il est important de rappeler que les séances de fasciapulsologie, ne se substituent d’aucune manière, à tout traitement médical ou/et paramédical. Le praticien ne pose aucun diagnostic, ne s’oppose à aucune intervention chirurgicale.

Contre-indications (précautions spécifiques) à la fasciapulsologie :
Femme enceinte de moins de 3 mois / Hypertension artérielle non traitée médicalement / Prise d’anticoagulants / Phlébites / Port de Pacemaker